Dans ce message (parce qu'il faudra aussi parler des autres), je m'en tiendrai au grand réseau "N" de plus de 20m de long pour presque 12 de large. La photo ci-dessous présente presque l'ensemble, car je manquais de recul pour tout englober...
Il y avait trois réseaux N, tous tenus par des membres de l'AFAN : le réseau de l'AMFC d'Orléans, celui de J.Y. Page, et le nôtre, comptant 46 modules aboutés entre eux, ceux de Jacques Detourbe, ceux des Dubray, ceux de Michel Costes, ceux du club et les miens. L'échelle N occupait donc une grande place!
La sélection des images est difficile (j'en ai plus de cent!), mais d'autres messages donneront leur place aux autres réseaux, tout aussi intéressants. Ici, nous devons nous contenter de notre grand réseau N (échelle du 1/160e, écartement de 9mm), sachant qu'un train quittant un quai de gare parcourait un peu plus de 100m (soit 16km) avant de le retrouver après plusieurs minutes de circulation!

Voici donc ce triangle de voies qui nous envoyait ici du côté des paysages tourangeaux des Dubray père et fils, Jean-Luc et Luc, avec une partie du château de Saumur et les habitations troglodytiques si fréquentes dans la région, et longées par les voies.
La gare de Montmédy est attentivement observée parce que l'ensemble des caténaires surprend; mais les maisons reproduites intéressent aussi beaucoup les visiteurs.
Le dépôt, dont l'aménagement est encore en cours, a attiré beaucoup de curieux, certains interrogeant même sur l'utilisation ou l'existence de tels aménagements dans la réalité...
le cargo porte-containers de Michel, ouvrage très remarqué de notre doyen (88 printemps de dynamisme), qu'il a construit à partir de documents photos, et qu'il n'aura de cesse de raconter aux visiteurs.
Le pont de Kehl franchit le Rhin et nous conduira à un vieille cité médiévale allemande. Son intérêt réside dans sa voie unique qui nous permet de passer de la circulation à gauche en France, à droite en Allemagne, et inversement.
Le soir tombe sur la vieille cité, son tramway est rentré au dépôt, bientôt on va fermer...
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